Description
En 1986, l’adaptation du roman 37°2 le matin réalisée par Jean-Jacques Beineix braquait les projecteurs sur un jeune auteur du nom de Philippe Djian.
Les critiques scellaient les premières pierres de sa réputation, celle d’un écrivain rock bombardé porte-parole d’une génération, lui-même héritier de la Beat Generation.
À soixante-cinq ans, Djian est devenu un écrivain tout-terrain. Les témoignages de ses proches ont permis d’affiner ce portrait tout en nuances et en paradoxes.