Qu’il pleuve
Par touches légères, ce roman évoque, tout au long d’un été étouffant, la lente dérive d’un écrivain. Une femme a lu le manuscrit qu’il vient juste de terminer. Elle désire l’acheter. Mais pas à la façon dont on achète un livre… Elle le veut «pour elle toute seule» ! Comme on acquiert un tableau. Une pièce unique. Et pour cela, elle lui offre de l’argent, beaucoup d’argent. Mais l’homme peut-il ainsi vendre son roman, sa vie, son âme ?