ISBN ISBN 979-10-278-0222-7

14,00 EUR

168 pages

juin 2019

Nouveaux portraits d’insectes

Une édition présentée par Philippe Galanopoulos
Illustré par Pierre Zanzucchi

 

Après le succès des Portraits d’insectes, un nouvel opus pour (re)découvrir la langue et la science de Jean-Henri Fabre.

 

Accompagné de dessins de Pierre Zanzucchi, le recueil s’ouvre avec la description de « L’Harmas », maison et laboratoire à ciel ouvert de Fabre. Nous pénétrons ici, au fil des observations patientes du scientifique, dans l’intimité de l’Ergate (longicorne dont la larve est succulente) ou du Scarabée sacré, de la Volucelle (mouche à parure de guêpe) . Au fil des pages, Fabre, ce génie de l’observation, se révèle être un chantre de la diversité du vivant, lui qui, déjà, s’insurgeait contre la destruction de la Nature faite en son temps, au nom de la science, de la technique et de la modernité. La présentation de Philippe Galanopoulos s’achève sur un constat amer : la conscience écologique ne date pas d’aujourd’hui ; c’est ce qui rend plus tragique encore l’urgence du combat pour la sauvegarde des espèces.

 


 

C’est à Saint Léons, que Jean-Henri Casimir FABRE voit le jour, le 22 décembre 1823.
Il a déposé trois brevets en 1860. Le Ministre Victor Duruy lui confie la création de cours du soir pour adultes, mais sa façon très libre d’enseigner déplaît à certains. Il démissionne alors, et s’installe à Orange. Il y séjourne avec toute sa famille, pendant presque une dizaine d’années, et c’est là qu’il écrit la toute première série des Souvenirs Entomologiques. Jean-Henri Fabre obtient maints titres scientifiques, malgré cela, il demeure toujours d’une grande simplicité. Il est presque autodidacte. Il maîtrise le dessin , l’aquarelle. On peut le considérer comme un des précurseurs de l’Éthologie, la science du comportement.

 


 

La Presse en parle

 

« Insoumis, Pierre Zanzucchi accompagne les poètes,
les écrivains et les hommes de théâtre dans leur démarche,
car aimer l’univers des Lettres, c’est aussi aimer les mots
qu’il assimile souvent à l’univers des couleurs…»
Le Figaro

« Une découverte magique… »
ELLE

« Un état d’esprit ! »
Le Monde

 

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