Mort est méconnaissable (la)
Avec cet important recueil, Yves Martin ouvre les tiroirs infinis de sa poésie. Qu’il parte d’une image ou qu’il reconstruise un film, il nous fait pénétrer, à la manière d’un jeu de poupées russes, dans son univers familier: Paris, les bistrots, la mère, les gosses des rues, Onan, la solitude, les copains disparus, le cinéma…