Mémoire de la baleine (la)
C’est parce qu’on a perdu la mémoire du voyage qu’on cède à l’intolérance. Ce récit s’attache plus précisément à l’immigration italienne au Luxembourg. Il s’agit du roman de formation d’un enfant pour qui la notion de voyage oscille entre le «définitivement provisoire» de la mère et le «provisoirement définitif» du père. Il permet de brosser la fresque de tout un siècle de migrations.