L’Espoir à l’arraché
– Avec L’Espoir à l’arraché, Abdellatif Laâbi livre une nouvelle bataille contre ce « règne de barbarie » qu’il n’a cessé de pourfendre depuis le premier livre, écrit dans le milieu des années 1960. Il le fait avec des «armes miraculeuses» qui lui appartiennent en propre : le cri qu’il dit être inscrit dans ses gènes, la célébration inconditionnelle de la vie et, plus tonique, l’ironie et l’autodérision.
– Il en résulte un paradoxe, comme toujours à la lecture de ce poète : alors que des accents tragiques résonnent fortement d’un poème à l’autre, on en ressort à la fois ragaillardis et la tête dans les étoiles.
La presse et les libraires en parlent
« La poésie en réponse à la barbarie. »
«La Grande table » – France culture
« S’il écrit en français et traduit l’arabe, Laâbi aime dire qu’il trouve sa langue dans celle des autres : en Europe, en Afrique subsaharienne, en Amérique du Sud et, finalement, partout dans cette vaste maison qu’est pour lui la littérature. »
Le Monde
« C’est par le roman que Laâbi découvre la littérature, mais sa plume s’aiguise en poésie, avant de s’aventurer dans le récit, toujours en chahutant les genres établis. »
Télérama
« Abdellatif Laâbi est l’un des poètes et écrivains franco-marocain les plus importants d’aujourd’hui. »
Texture
« Abdellatif Laâbi entretient un rapport passionnel avec le Maroc. »
Médiapart