Les Alphabets du feu
– Au centre des Alphabets du Feu rutile et palpite l’Orient que l’auteur a longtemps parcouru en quête des sources magiques de l’écriture. Partant du tombeau d’Ahiram (Byblos), où sont gravées les lettres de notre alphabet, le « scribe errant » rencontre la « parole planète » : six millénaires de bruit, de fureur et de voluptés asiatiques dont il fait revivre la prodigieuse saga. Les Alphabets du Feu constituent un périple initiatique, au terme duquel nous accédons à la « chambre secrète » de l’origine retrouvée.
La presse et les libraires en parlent
« Marc Alyn n’a jamais cessé d’assumer et d’accepter la destinée douloureuse et prodigieuse, merveilleuse et dangereuse, celle d’être un poète, uniquement un poète. »
Philippe Soupault
« Des phrases qui m’enchantent. »
Olivier Barrot – Un livre, un jour
« Chaque poème est genèse d’un monde idéal. Nocturne ou solaire, il est rayonnant. »
Robert Sabatier
« Le charme et la vertu de tout ce qu’écrit Alyn, en vers comme en prose, sont d’abord dans une ouverture immédiate à ce qui est autre et à ce qui est neuf, dans une disponibilité constante envers ce qui s’élève au-dessus de l’usuel ou qui plonge au-dessous de l’habituel, dans une inclination spontanée au mythe et à la merveille. »
André Pieyre de Mandiargues
« Son œuvre nous comble. »
Pierre Brunel