Le Service de mariage
– C’est un vivant, un vrai vivant qui parle dans cette suite inédite de poèmes. Benno Barnard est l’héritier direct de la tradition néerlandaise, entre peinture et poésie. Comme Rembrandt accumulant les autoportraits, Barnard jauge, se plaît et se déplaît avec plus de vigueur, de franchise et d’audace que chacun de nous. Le traducteur Daniel Cunin prend ici la relève de Marnix Vincent, traducteur des livres précédents tous parus, en français, au Castor Astral.
La presse et les libraires en parlent
« Néerlandais résidant à Anvers, parlant hébreu par son père et anglais avec sa femme, Benno Barnard vit sous haute tension et puise dans ses racines culturelles et historiques paradoxales une musicalité, une finesse et une virtuosité technique. Ses poèmes, souvent longs et réunis en cycles, expriment une confrontation titanesque entre être et non-être, dans l’esprit de certains prestigieux prédécesseurs comme Guillaume Apollinaire, T.S. Eliot ou Joseph Brodsky. »
Le Printemps des poètes