La Fuite vers Samarkand
– Dans ce récit aux accents autobiographiques, Abdellatif Laâbi fait le tour de l’humanité qui est en lui. Son ambition : ne rien occulter, ne rien épargner, à commencer par lui-même.
– La Fuite vers Samarkand est une traversée jouissive, voire débridée de l’époque qu’il lui a été donné de vivre, y compris le dernier épisode : le drame pandémique que le monde a dû affronter. La question de la finitude y est subtilement abordée par le truchement du conte célèbre du soufi persan du XIIe siècle, Fariduddine Attar. Et ce n’est pas la moindre originalité de Laâbi que de traiter cette question avec l’humour sans tabou qui est le sien, aggravé par ce qu’il appelle en conclusion du livre « l’insolence de la vieillesse ».
La presse et les libraires en parlent
« La poésie en réponse à la barbarie. »
« La Grande Table » – France Culture
« C’est par le roman que Laâbi découvre la littérature, mais sa plume s’aiguise en poésie, avant de s’aventurer dans le récit, toujours en chahutant les genres établis. »
Télérama