La Dernière nuit
Arnold, archétype du héros bovien, vit dans une chambre obscure d’un petit hôtel de Montmartre. En pleine crise de désespoir, il est en proie à de vives angoisses… Ce roman débute par l’un des plus grands moments de bravoure littéraire d’Emmanuel Bove : la saisissante description d’un suicide qu’Arnold pense pouvoir contrôler.
La presse en parle !
« Sorte d’aventurier de la morale, le héros, poursuivi par l’ambigüité des bien- faits, malhabile à singer le vice autant que la vertu, est naïf incorrigiblement, jusqu’à la perversité. »
Le Monde
« Un “polar’’ psychologique inventé par un champion d’échecs. »
Le Quotidien
« Du grand art. »
L’Obs
« Un triomphe posthume. »
La Quinzaine littéraire
« Le plus grand des auteurs français méconnus. »
Libération
« La nécessité de ne pas ressasser, de se renouveler sans faiblir fut une des préoccupations constantes de Bove qui, le 10 avril 1939, notait dans son journal : “Ne plus rien écrire sans avoir un grand sujet. Ne pas trouver, comme avant, un sujet dans ce que j’ai écrit.’’ Il écrivait alors La Dernière Nuit. »
Europe