Quel pianiste se fit connaître du monde entier en surgissant de la mer dans un smoking dégriffé ? Comment le Clavier bien tempéré de Bach peut-il évoquer des déboires avec le fisc ? Quel compositeur et compatriote avouait n’aimer Leonard Bernstein qu’à 71 % ? Peut-on être à la fois poufiasse et fan de Mozart ? Pourquoi, lors de l’enterrement de Samuel Barber, jeta-t-on des croûtons sur son cercueil ?
À questions superflues, réponses nécessaires. Comme la Plaisanterie musicale composée par Mozart, ce Dictionnaire offre un bric-à-brac de citations détonantes, de couacs savamment orchestrés, de fugues bancales et de variations énigmatiques. Érudition et dérision y fraternisent avec ardeur. Entre deux sourires, le néophyte curieux comme le mélomane chevronné y trouveront des informations originales sur l’univers impitoyable et impayable de la musique classique. Plus de 1000 entrées parsemées de blagues lamentables, de calembours douteux, mais aussi d’analyses documentées, de coups de griffes et de conseils discographiques, le tout complété par un index et illustré dans l’esprit d’Auguste Derrière et Clémentine Mélois…
3e édition encore plus superflue !
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La presse en parle !
«Dénichez vite ce trésor d’histoires et d’anecdotes, des plus savoureuses aux plus délirantes : c’est une mine, un régal ! »
Franck Mallet, Classica
«Très drôle et passionnant ! »
Jean-Charles Hoffelé, France Musique
« Au hasard des entrées de ce célèbre dictionnaire, votre abattement ne tiendra pas la distance. Une merveille à feuilleter ! »
Francis Cousté, L’Éducation musicale
« Le Dictionnaire superflu de la musique classique est un livre qui m’a beaucoup fait rire et m’a appris un tas de choses. Le seul ennui, c’est qu’on a envie de le citer à tout propos. Il nous ferait bien dix ans de chroniques. »
Bernard Frank, L’Obs
« Il y a quelque dandysme à persévérer dans l’affectation de superfluité quand la chose désormais compte 500 pages bien tassées et bien remplies d’anecdotes, de faits vrais, de citations en tout genre et de tout temps, de galéjades et de calembours, de réflexions et de saillies. Ces entrées riches de sorties nous font pénétrer dans la part drolatique du monde musical, devenant immense bal de fous et doux dingues où se disputent la bassesse, la jalousie, la tristesse du quotidien, et l’extase, l’admiration, la joie. L’érudition comme principe de réjouissance, c’est devenu si rare. »
ForumOpera.com
« Non point copiée-collée mais composée avec compétence, éclectsime et soin, un sérieux de potache et quelques partis pris cruels (certes délicieux), voici la troisième édition, absolument irrésistible, augmentée et revue de ce trésor désormais bien connu d’érudition et d’esprit. »
La Lettre du Musicien
« Superflu, vraiment ? Cette 3ème édition du dictionnaire de Pierre Brévignon et d’Olivier Philipponnat a le parfum des livres gloussants (produit du rire étouffé), que l’on dévore furtivement à bord du “chemin de fer urbain à traction électrique établi en site clôturé“ (métro). (…) Presque rien ne nous est épargné dans ce dictionnaire superflu, donc nécessaire, voire indispensable, avec ses centaines d’entrées plus réjouissantes les unes que les autres. »
Pianiste