Ce que m’a soufflé la ville
– Ce que m’a soufflé la ville est une succession de pérégrinations urbaines, d’heures de marche, de trajets en train ou en RER, de bribes de conversations volées. Marcher, ne faire qu’un avec la ville pour percevoir et saisir ce qu’elle murmure et ce qu’elle a à donner.
– Arpenter la ville en quête de soi, marcher pour déjouer l’absence et accepter la solitude : « Le présent, c’est ce qui interrompt la mémoire. Comme les villes le ciel. »
– Milène Tournier propose au fil de ses déambulations une autre façon d’habiter la ville : « À toi, qui crois que vivre, vraiment vivre, est sans doute autre chose que ce que tu fais. »
La presse et les libraires en parlent
« Milène Tournier rassemble une foule d’éclats, de brefs instants de vie arrachés au quotidien.
C’est d’une grande beauté, d’une profonde justesse. »
Xavier Houssin – Le Monde
« Une poésie directe, brute, qui assume parler du quotidien – sans jamais verser dans le trivial. »
Guillaume Lecaplain – Libération
Préface d’Azélie Fayolle