À part moi, personne n’est mort
Le suicide, la guerre, le sexe, le racisme, la torture, la solitude… Thomas Gunzig aborde, dans les douze nouvelles qui composent ce recueil, les sujets les plus délicats de façon frontale. Sa poésie violente s’exprime au rythme d’une imagination effrénée. On sent l’étrange compassion d’un auteur qui assiste sans l’avoir voulu aux convulsions d’un univers déréglé. Terreur ? Et pourtant, l’humour qui surgit ici et là, dévastateur, apparaît comme le dernier rempart contre la folie.