ISBN 979-10-278-0069-8

15,00 EUR

208 pages

mai 2016

76 clochards célestes ou presque

Préface d’Éric Poindron. Dessin de couverture : François Matton.

Le projet est né de l’écriture d’une rubrique publiée sur le site Vents-contraires.net du Théâtre du Rond-Point.

Une galerie de portraits d’artistes décalés, à la vie et au destin hors du commun. Ces textes d’hommage mêlent poésie du quotidien, souffle lyrique et humour. Un livre qui donne envie d’en savoir toujours plus sur ces artistes au destin souvent tragique.

« Le clochard céleste ne dort pas sous la cloche du ciel, il dort dans le ciel directement. Il dort, ange, boit, chie du ciel mais il sent toujours la bête, ce mélange d’étoiles et de boue. Ces textes constituent une galerie de sales types, de déglingués et d’allumés, de borderline et de bords de routes. (…) Ils étaient peut-être malades, mais ce  sont eux qui nous ont soigné de beauté, la vraie, la pure, celle qui ne renonce à aucune réalité. »

La presse en parle !

 

« Ces textes d’hommage mêlent poésie du quotidien, souffle lyrique et humour. Un livre qui donne envie d’en savoir toujours plus sur ces artistes au destin souvent tragique. »

Le Figaro

« Nous venons de lire un superbe bouquin ; 76 clochards célestes ou presque de Thomas Vinau (Le Castor Astral). Magnifiques mini-portraits d’écrivains, poètes, musiciens, artistes qui auraient tous pu finir leurs jours dans un conteneur d’une autre rue Bruyas. Sous “le ricanement du monde“. Blaise Cendrars, Elisabeth Cotten, Jean-Paul Clébert, Charles Bukowski, Billie Holiday. Et même Michel Simon (le Boudu sauvé des eaux), pas très loin d’un certain… Diogène. À lire. »

Midi-Libre

« « Militant du minuscule », le poète et écrivain Thomas Vinau rassemble dans 76 clochards célestes ou presque, une galerie de brefs portraits d’artistes qui lui ont troué le cœur. Des « blessés fidèles à leurs blessures ». Des « inconsolés qui consolent ». Des « vents-debouts dans la défaite ». Des gratte-papiers, mais aussi des sort-les-pinceaux et des pousse-la-chansonnette. Des très connus (Bukowski, Chet Baket, Jack London, Billie Holiday), des super-Nova (Gil-Scott Heron, Moondog, Alain Peters, Lee Scratch Perry), mais aussi et surtout des qui restent encore, pour la plupart d’entre vous, à rencontrer. »

Radio Nova

« Thomas Vinau, vous êtes certainement le seul auteur des éditions 10-18 sachant versifier et se servir d’une débroussailleuse. Mille mercis pour votre essai libérateur avec ces portraits d’écrivains en marge qui dégainent aussi bien la plume que le tire-bouchon, ne finissent jamais à l’Académie et n’obtiennent le Nobel que par accident. En généreux campagnol du Lubéron, vous nous laissez grande ouverte la porte de votre terrier de curiosités. Grâce à vous, nous prenons la clé des champs pour de formidables vagabondages en compagnie de John Muir, Diogène ou Blaise Cendrars. »

Le choix des libraires : Laurent Lebourg de la librairie CAJELICE à PERPIGNAN

« C’est un petit recueil délectable, qui pousse au vice : il donne envie de lire et de relire tous ces auteurs. Les connus, qu’on chérit dans un coin de son cœur (Norge, Cossery, Cendrars, Bukowski…) Et ces autres, inconnus, présentés de manière si oblique, si décalée. Thomas Vinau y va d’un clavier délicat pour dresser ces portraits d’écrivains en demi-teintes. Parfois en vers, souvent en prose, toujours avec style. Ils ont un pied, voire les deux, en dehors du droit chemin. Pour la plupart, sans doute, ils ne sont pas faciles à fréquenter dans la réalité. Mais par écrit, quel régal ! »

Ouest France

« Thomas Vinau, lui, vient de publier « 76 clochards célestes ou presque ». Il a piqué le titre à Kerouac, mais on ne lui en veut pas, tant ses portraits sont drôles, lyriques et toujours poétiques. Artistes et maudits, mal sapés, adulés, adorés, « fous », « toxicos », et « punks », parfois alcooliques et souvent désabusés, souvent drôles et parfois beaux, tels sont les clochards de Vinau. Bien sûr, il en manque, Baudelaire, Rimbaud ou Morrison n’y sont pas. Le poète a choisi ceux qu’il admire et qui l’inspire. Et voici qu’en deux ou trois mots seulement et quelques rimes bien choisies, Thomas Vinau nous offre un dernier verre en compagnie de ces abîmés magnifiques. »

L’Obs

« Au sein de la galaxie des nouveaux talents que l’on voit germer ici ou là, Thomas Vinau fait feu de tous bois, avance de façon erratique sans se préoccuper de faire carrière ou d’un quelconque « qu’en-dira-t-on ». »

Texture

« La parfaite playlist que Thomas Vinau nous offre là nous aidera à passer le temps en bonne compagnie. »

Rock&Folk

« Le livre attire l’œil sur la table du libraire. Il donne envie d’être touché pour en connaître la matière. Recueil d’étoiles mortes et d’autres encore vivantes (si peu). Soixante-seize au total, convoquées, choyées et charriées par Thomas Vinau. Des portraits de « va-nu-pieds » (et d’un manchot), brefs, poétiques, drôles. Un livre pour tous les chasseurs d’or que l’or indiffère… »

Charlie Hebdo

« Thomas Vinau se révèle au bout du compte le guide idéal pour vous créer une bibliothèque de la mouise lyrique, de la scoumoune élevée aux rangs des beaux-arts, du traine-savatisme comme humanisme. Chacun pourra s’amuser à trouver des manques, — nous aurions bien vu Jean-Pierre Martinet dans la bande —, mais la subjectivité ici est assumée en souriant, avec élégance et l’auteur nous a promis une seconde livraison. »

Le Causeur

« Thomas Vinau signe une galerie touchante de portraits d’auteurs et d’artistes décalés qui ont eu une vie et un destin hors du commun (…) Ce livre donne envie d’en savoir toujours plus sur ces artistes au destin souvent tragique qui nous ont aussi donné quelques mémorables leçons de bonheur et de beauté. À lire et à méditer en musique. »

Ortho Magazine

« Un livre qui nous donne une furieuse envie d’en découvrir d’autres, de se replonger dans des lectures oubliées, de mieux connaître des êtres dont on ignore souvent beaucoup de choses. En quelques phrases, Thomas Vinau nous dresse un court portrait de différents artistes, écrivains, chanteurs, … qui ont marqué de leurs empreintes leurs disciplines. Les clochards célestes sont des hommes et des femmes sensibles, à fleur de peau qui ont mis leurs tripes sur la table pour vivre. Des odyssées humaines qui ont transformé des vies en œuvres.

Si pour vous la littérature ce n’est pas seulement des mots mais aussi et peut-être surtout des hommes, ce livre est pour vous. À lire ! »

Le Salon Littéraire

“Chaque portrait trouve toujours un angle d’approche original, poétique, touchant et pose au final le problème du rapport de l’artiste à son oeuvre et à son succès ou échec. Un livre fascinant à l’écriture minimaliste et poétique qui donne une furieuse envie d’en savoir plus sur chacun de ces artistes à la marge et invite à réfléchir sur leurs destins.”

La Provence

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